psychologue
Les travailleurs pluridisciplinaires de la première ligne perçoivent-ils toujours le bien-fondé de leur place centrale dans l’accueil, la prévention et le suivi des problèmes de santé mentale ? Pas assez sans doute… Vanni Della Giustina ouvre ce dossier en posant les balises indispensables pour que cette place puisse être occupée de la façon la plus pertinente qui soit. Rôle central ne veut pas dire rôle principal. C’est un rôle tout à fait particulier fait de disponibilité, offrant un regard (...)
Trouver un langage commun aux questions de santé mentale : une question ancienne et inépuisable… qui prend des accents particuliers dans une équipe pluridisciplinaire souhaitant que le langage se mette au service de l’approche globale, intégrée, continue, propre aux soins de première ligne. Pour ouvrir de nouvelles pistes, Vanni Della Giustina revisite d’une manière originale le concept de diagnostic et l’usage du dossier informatisé. Reconnaître et discerner Comment sortir des langages des myriades (...)
Les travailleurs pluridisciplinaires de la première ligne perçoivent-ils toujours le bien-fondé de leur place centrale dans l’accueil, la prévention et le suivi des problèmes de santé mentale ? Pas assez sans doute… Vanni Della Giustina ouvre ce dossier en posant les balises indispensables pour que cette place puisse être occupée de la façon la plus pertinente qui soit. Rôle central ne veut pas dire rôle principal. C’est un rôle tout à fait particulier fait de disponibilité, offrant un regard (...)
Vanni Della Giustina aborde ici la ‘Clinique de concertation’, soutenue par Jean-Marie Lemaire, psychiatre et formateur à Flémalle. Cette approche, c’est qu’elle permet de réintroduire le pôle ‘politique’ trop souvent oublié (ou perçu comme dangereux) par les travailleurs de proximité confrontés à l’urgence de la crise et à la détresse des usagers. Une pratique qui bouscule les évidences et ouvre vers des dispositifs thérapeutiques collectifs. Clinique de concertation Jean-Marie Lemaire est directeur d’un (...)
Toute parole sur la souffrance porte une dimension psychologique et à ce titre, tous ceux qui reçoivent la plainte exercent une « fonction psy ». Quelle est la teneur de cette fonction chez les soignants de première ligne et qu’en est-il alors de la place du « psychologue professionnel », comment déterminer le rôle de chacun et organiser la circulation du patient entre ces instances, en particulier dans le cadre d’une maison médicale, structure vouée à une approche globale ? Nous (...)