L’état de santé d’une population est influencé par des facteurs biologiques (patrimoine biologique et génétique), par les soins de santé qu’elle peut recevoir, mais surtout par les déterminants sociaux (dont l’impact est évalué entre 70 et 80 % selon les études).
Il s’agit par exemple du niveau de revenus, du statut social, des réseaux dont bénéficie le patient, du niveau d’éducation et d’alphabétisme, de l’emploi et des conditions de travail, de l’environnement, des habitudes de santé, des capacités d’adaptation, du genre et de la culture.
Ces matières sont actuellement déconnectées des politiques de santé. Nous prônons une plus grande transversalité et donc un décloisonnement des domaines politiques.
Nos propositions pour les futurs accords de majorité :
À travers son mémorandum politique, la Fédération des maisons médicales a identifié 10 recommandations et 101 propositions pour une autre politique de santé. Nous vous proposons de les découvrir par niveau de pouvoir et thématique à l’adresse suivante :
- Pour aller plus loin, nous vous proposons, dans une analyse en éducation permanente, un focus sur l’échelon communal et la santé.
Pour toute question ou rencontre autour de ces propositions, vous pouvez vous adresser à :
- Christophe Cocu (christophe.cocu@fmm.be), secrétaire général de la Fédération des maisons médicales.